top of page

Cinéma : les sorties incontournables du 12 novembre 2025

Les sorties cinéma de ce mercredi s’annoncent riches et variées, prêtes à séduire tous les publics. Entre un troisième round d’illusionnistes prêts à briser la routine, des amazones prêtes à tout pour renverser la table et des rêveurs qui nous chuchotent leurs secrets, les fauteuils des cinémas vibrent déjà. Focus sur une cuvée de films qui promet rires, frissons et quelques belles claques poétiques au passage


Les magiciens / Bande-annonce Insaisissables 3
Les magiciens / Bande-annonce Insaisissables 3

 

Cette semaine, les fauteuils rouges s’apprêtent à recevoir des spectateurs prêts à tout ou presque pour s’évader du quotidien. Au sommet de l'affiche, « Insaisissables 3 » tente un grand « come-back » neuf ans après le précédent tour de magie, avec Jesse Eisenberg et Woody Harrelson. La recette ? Beaucoup d’illusion, quelques nouveaux tours mais une magie qui laisse certains critiques un brin sceptiques à croire que l’effet waouh s’est un peu dissipé sous les projecteurs. Pour les amateurs de pop-corn, le film fait le job, casting complice, rythme au galop, mais gare à l’overdose de ficelles scénaristiques.


Illusions intemporelles et désillusions modernes


Heureusement, le reste de la sélection nous rappelle qu’on n’est jamais à l’abri d'une bonne surprise. « Le Gang des Amazones » débarque pour braquer l’ennui et offrir une bouffée d’air insolente et féminine, sur fond de faits divers et d’années 90 tapageuses. Plus touchant, « Les Rêveurs », premier film sensible d’Isabelle Carré, nous plonge entre douceur, adolescence cabossée et reconstruction pudique une parenthèse poétique à ne pas manquer pour les cœurs tendres.


Entre éclats de rire et battements de cœur


À ceux en quête de comique désabusé, « L’Incroyable Femme des neiges » offre Blanche Gardin dans un rôle surprenant, entre quête de soi et burlesque polaire parfait pour ceux qui pensent que le rire est le meilleur des manteaux d’hiver.​

Mention spéciale aussi à « La Bonne étoile », comédie humaine où Benoît Poelvoorde se frotte à ses propres certitudes pour mieux les faire sauter, à la manière d’un chef d’orchestre un brin maladroit mais généreux.


Bref, ce 12 novembre, les salles noires ne manquent ni d’énergie, ni de nuances : que vous ayez envie de magie, de frisson social ou d’un brin de poésie, quelque chose vous attend forcément entre deux rangées de pop-corn.

 

Commentaires


bottom of page